qui proviennent de la tradition relative à Waraqa ben Naufal
et aux premières révélations faites à Mahomet, signifient
« le grand confident » et y désignent l'archange 'envoyé par
Dieu (c'était alors Isrâfîl) ; ici c'est une épithète de Dieu
lui-même.
P. 110, 1. 1. «Père des Musulmans » est un lapsus calami
pour « père de Soléïman » que porte le texte, p. 106,
1. 14.
P. 121, 1. 4. « Son occupation était d'apprendre le livre
des Juifs », plutôt : « Le prophète lui ordonna d'apprendre
»
P. 143, 1. 13. « Constitution d'arbitres équitables »
lire : « de deux arbitres » et voir plus loin les additions
de la page 229.
P. 156, 1. 25. « Ne songe pas àpunir sa créature », plutôt
: « ne se soucie pas de sa créature. » Cf. Lisân el-Arab,
t. I, p. 112.
P. 163. Sur l'anecdote des bracelets d'or, voir Ibn-Hichâm,
p. 964.
P. 170, 1. 7. Au lieu de : « Mais il n'est pas ton compagnon
», plutôt : « Il n'est donc pas ton compagnon ! » —
L. 29. « Et sur sa tête des petites feuilles de palmier »,
lire : « rameau sans feuilles, ayant à son extrémité de petites
feuilles de palmier. »
P. 181. Chorahbîl ben es-Samt, lire : « Chorahbîl ben es-
Simt. »
P. 183. « Il ordonna d'apporter du vin vieux, il s'enivra. »Peut-être cette phrase signifie-t-elle : « Il ordonna d'endiguer
le canal el-'Atîq », bien qu'on ne voie pas très bien
comment ce canal n'aurait pas eu déjà des digues.
P. 186,.1. 7.Dîlasà; corriger probablement en HJb:>,Dîlmâyâ,
bourgade faisant partie de Yistân de Bahorasîr, vers
le Tigre, citée dans Tabarî, Annales, II, p. 57, 1. 17.
P. 190, H y a une certaine confusion, dans les historiens,
entre Dhoû '1-Hâdjib Bahman Djàdhoûyè, qui commandait
Meilleures salutations.
Youssef CHARHABAILI.
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